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Sur chaque vélo, vous retrouverez une date de livraison estimée.

Nous réalisons le montage complet du vélo (seule la roue avant est à fixer et si les pédales de votre vélo sont incluses, elles seront à visser) puis un emballage soigné dans notre atelier en Corrèze. Une fois que votre commande est prête, vous pouvez recevoir votre vélo dans les 48h (jours ouvrés) par notre transporteur de confiance Geodis.

Avant de procéder au paiement, vous pouvez rajouter une note de commande. Par ailleurs, dès que votre vélo est confié à notre transporteur, vous recevrez un email et un SMS afin de choisir la date et la plage horaire que vous préférez (matin ou après-midi).

Il est possible de recevoir votre vélo tous les jours de la semaine (sauf le samedi après-midi et le dimanche)

Nous sommes à l’écoute pour vous conseiller la taille la plus adaptée.
Si toutefois vous souhaitez changer, c’est tout à fait possible. C’est pour cette raison que nous vous conseillions de garder votre carton intact dès la réception de votre vélo.

Si vous devez nous retourner votre vélo, les frais d’expédition seront à votre charge, soit un montant de 100€ (France métropolitaine). Vous pourrez choisir une autre taille ou demander le remboursement de votre vélo.

”En stock” signifie que nous disposons déjà du vélo en magasin, nous réalisons le montage de chaque composant dès que la commande est validée.

“Disponible sur commande” signifie que le vélo est chez notre fournisseur. Dès lors que la commande est validée, nous recevons le vélo et réalisons avec soin le montage.

Oui, nous adaptons la préparation de votre vélo (pression des suspensions, ajustement des périphériques) selon votre poids.

Tous nos vélos bénéficient de la garantie officielle de la marque (cadre, pièces, composants selon le fabricant). En cas de problème, vous contactez directement VeloBrival : nous nous chargeons de la prise en garantie et du suivi auprès du constructeur, sans frais cachés. Notre SAV est réactif et basé en France pour vous simplifier la démarche.

• Vélo d’endurance : le plus polyvalent et confortable (position un peu plus redressée, pneus 30–32 mm). Idéal pour des longues distances, des routes imparfaites et un rythme régulier.
• Vélo de route aérodynamique : optimisé pour la vitesse sur le plat/vent de face (cadre et cockpit profilés, roues hautes 45–60 mm). Demande un peu plus de maintien et tolère moins les routes dégradées.
• Vélo pour “Grimpeur” (vélos légers) : priorise le poids et la vivacité (cadre/roues légers 28–40 mm). Idéal pour les sorties avec beaucoup de dénivelé et si vous aimez relancer.

Le cadre en aluminium : plus abordable, très fiable, un peu plus lourd et moins filtrant que le carbone. Excellent si vous privilégiez le rapport qualité/prix et investissez dans de bonnes roues.

Le cadre en carbone : plus léger et plus confortable à gamme équivalente, avec une meilleure rigidité directionnelle. Pertinent dès que vous visez la performance ou un confort supérieur sur la durée.

Le vélo musculaire est parfait si vous roulez déjà régulièrement, acceptez les jours “sans” et n’affrontez pas systématiquement de forts dénivelés.

Tandis que le vélo de route électrique est pertinent si vous souhaitez lisser l’effort (vent, côtes, rouler avec un groupe plus rapide), maintenir une vitesse moyenne stable ou reprendre le vélo sereinement. L’assistance agit jusqu’à 25 km/h ; les systèmes “légers” (Mahle/Fazua) offrent un coup de pouce discret, les plus puissants (Bosch/Shimano) sont adaptés aux reliefs marqués.

Oui, un cockpit 100 % intégré augmente le temps que l’on peut passer pour nettoyer en profondeur son vélo (purge des freins, changement de cockpit). Et cela peut augmenter le coût lors de votre passage chez un atelier près de chez vous. Par contre, l’avantage, c’est que vos câblages sont en sécurité et le rendu est esthétique et aérodynamique.

Vous pouvez généralement jouer sur 5 à 20 mm d’entretoises pour affiner la position. La pile totale d’entretoises est souvent limitée à environ 30–40 mm ; au-delà, il vaut mieux adapter la taille du cadre ou la potence pour préserver la rigidité et la tenue de route. Les cockpits intégrés offrent moins de marge et demandent plus de temps pour l’ajustement.

Les tranmissions mécaniques : simple, moins coûteuse, fonctionne sans batterie et très fiable si elle est bien réglée. En revanche, elle est sensible à l’encrassement câbles/gaines et aux courbures serrées.

Si on regarde du côté des transmissions électroniques : les passages sont nets et constants, auto-ajustement, les commandes sont souples, personnalisation possible. C’est vrai, que c’est une transmission plus onéreuse, qui nécessite d’être recharger (autonomie longue rechargement 1 à 3 fois par an selon l’utilisation du vélo), et l’installation/diagnostic est plus technique. Mais, quel bonheur de rouler avec une transmission si fluide !

En bref, le vélo de route/endurance est conçu pour rouler vite et efficacement sur l’asphalte, avec une géométrie plus sportive. Le cycliste est donc plus allongé pour améliorer l’aérodynamisme.

Le gravel est pensé pour la polyvalence : il reste rapide sur route, mais accepte aussi les chemins, grâce à des pneus plus larges (35-45 mm), une géométrie plus stable et des passages de roues élargis. La position adoptée est plus droite et est plus confortable.

Le cadre aluminium, présente un bon rapport qualité/prix, solide et assez léger, idéal pour débuter.

Tandis que le cadre carbone : léger et confortable, absorbe mieux les vibrations, plus particulièrement adapté à ceux qui cherchent la performance.

Le monoplateau est plus simple et plus léger, idéal pour les sorties sportives et le gravel engagé.

Le double plateau offre une plage de vitesses plus large, pratique si l’on alterne route, chemins et longues ascensions.

Les freins hydrauliques offrent plus de puissance et de progressivité, surtout par temps humide ou boueux. Alors que, les freins mécaniques sont moins chers et plus simples à entretenir, mais le freinage est moins précis.

Le gravel est à l’aise sur route, pistes roulantes, chemins forestiers et cailloux modérés.

Sur du terrain très cassant, il atteint ses limites : confort réduit, risque de crevaison plus élevé, le pilotage sera plus difficile. Dans ce cas, un VTT est plus adapté.

Pour le bikepacking, il vaut mieux privilégier un gravel confortable, avec de nombreuses fixations (porte-bagages, sacoches, garde-boue).

Pour les sorties sportives, un modèle plus léger et dynamique, avec une géométrie proche de la route, sera plus adapté.

Oui, le gravel est un excellent choix. Il est rapide sur route et stable sur des chaussées abîmées. Avec des gardes-boue et des éclairages, il devient un vélo utilitaire idéal.

Ce qu’il faut savoir sur ces deux types de montage :

• Tubeless : moins de crevaisons (préventif), pressions plus basses donc meilleur confort et grip ; demande l’entretien du liquide et un montage soigné.
• Chambres à air : simplicité et réparations faciles partout ; un peu moins de confort/adhérence à pression égale.

Pour un vélo gravel, nous vous recommandons plus particulièrement des pneus tubeless ready afin d’y introduire du liquide préventif à la maison.